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Le préalable à la légitimité nationale et internationale au « Dialogue inter-congolais », gage de toute paix véritable et durable en République Démocratique du Congo
By johnson Keto On 17 juil, 2013 At 11:14 | Categorized As A la Une, Politique | With 2 Comments

Le préalable à la légitimité nationale et internationale au « Dialogue inter-congolais », gage de toute paix véritable et durable en République Démocratique du Congo                                                                     

La Modération conjointe de la Communauté internationale en symbiose avec le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya   

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Cardinal Monsengwo, derriére lui, Jacques Matanda

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                    Jacques Matanda                                                                          

Joint au téléphone à Washington DC, aux Etats-Unis, l’auteur de la Lettre ouverte de Dakar au Président Barack Obama, à Mme Michelle Obama et aux Membres du Congres américain sur « le génocide et l’holocauste ignorés » en cours en République Démocratique du Congo,- Jacques Matanda ma-Mboyo Kudia Kubanza le Porte-parole du Mouvement humaniste Stop Congo Génocide est formel dans son évaluation et déclare:

« Les 20 dernières du blocage total du processus de démocratisation conduit à l’époque par l’ancien le Président du Bureau de l’Assemblée générale de la Conférence Nationale Souveraine, l’actuel Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya,- sont la cause principale des 20 dernières années que dure l’actuelle descente aux tréfonds des enfers République Démocratique du Congo.

Jacques Matanda s’empresse de préciser que c’est l’époque où ces politiciens congolais avaient fait de Léon Kengo le Premier Ministre en lieu et place d’Etienne Tshisekedi élu par la Conférence Nationale Souveraine. Très peu de temps après cette mise en échec du processus de pacification et de réconciliation voulues par Conférence Nationale Souveraine,- débutaient les 17 années ininterrompues de guerre, du génocide et de l’holocauste qui durent jusqu’à ce jour.

Tel fut du reste le diagnostic établi sans ambages en 1997 par la Communauté internationale agissant par la voie des Nations-Unies au niveau de l’excellent Rapport d’enquêtes réalisé sous la direction de Rapporteur général Roberto Garreton sur la situation des droits de l’homme dans notre pays. les acteurs politiques dont Jacques matanda

Les acteurs politiques de l’époque dont Jacques Matanda, Nkuz karl-i-bond, Etienne Tshisekedi, Kibasa Maliba au stade Tata Raphaël.

Et, le Porte-parole du Mouvement Stop Congo Génocide précise que l’Histoire dira un jour que 1997 marquait le début du changement politique ayant débouché sur l’instauration du système de gouvernement en place durant ces 17 années dernières marquées par l’effroyable désastre humanitaire en cours de perpétration dans notre pays, depuis 1997 jusqu’à ce jour de juillet 2013. Un holocauste qui est le fait des obstructions et blocages fait au Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya victime des pièges et autres magouilles politiciennes.

Il y a 17 ans passés,- les Nations-Unies ne s’étaient pas limitées à établir l’excellent diagnostic produit par la Commission Garreton. Cette Commission d’enquêtes avait en outre procédé à l’élaboration d’une thérapie qui, pour l’essentiel, reprenait à son compte les perspectives à court, moyen et long termes consacrées par la Conférence Nationale Souveraine.

Du reste, c’est dans ce contexte que s’inscrivait les « Conclusions » et « Recommandations » faites par cette Commission d’enquêtes des Nations-Unies qui intégraient le Projet de société consacré par la Conférence Nationale Souveraine notamment sur les questions se rapportant à l’éthique, à l’humanitaire, à l’écologie, à la sécurité des biens et des personnes, à l’éducation, aux questions médicales et sanitaires, à l’économie, au le vécu social et politique … bref au modus operandi devant assurer le plein épanouissement de tous et de chacun en République Démocratique du Congo.

Jacques Matanda ma Mboyo Kudia Kubanza relève l’adéquation des deux démarches,- à savoir d’une part, celle consacrée par la Conférence Nationale Souveraine en 1991-1992 et d’autre part, celle ayant fait l’objet des « Conclusions » et « Recommandations » du Rapport d’enquêtes des Nations-Unies établi en 1997.

C’est au niveau de cette adéquation que le Porte-parole du Mouvement Stop Congo Génocide relève la conjonction des deux légitimités que sont d’une part la légitimité nationale congolaise dont a été investie le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya en 1991-1992 et d’autre part la légitimité internationale incarnée par l’Organisation des Nations-Unies et son Rapport d’enquêtes conduit par Roberto Garreton.  

Pour étayer sa thèse,- notre interlocuteur relève les points « 210 des Conclusions » et « 228 des Recommandations » faites par le Rapport d’enquêtes de la Commission Garreton en 1997 appelant à la tenue, sans délai, des assises politiques nationales devant non seulement réunir exclusivement les « parties congolaises » mais aussi prendre en compte l’esprit général des Résolutions prises à la Conférence Nationale Souveraine.

Au niveau des Conclusions, le point 210 du Rapport Garreton indique: « Pendant les dernières années du régime du maréchal Mobutu, il y avait une transition en herbe à la démocratie, encouragé par la société civile, les églises et les organisations non gouvernementales, mais découragé par l’homme qui avait été au pouvoir pendant 32 ans et de sa cour, et pour La plupart du temps pas encouragé par la soi-disant classe politique. Ce processus a entraîné des gains dans les domaines de l’organisation sociale, la liberté d’expression et d’un système multipartite, entre autres, qui, avec des avancées et des reculs, pouvaient être considérés comme ayant été consolidée. Il y avait aussi le projet national dûment convenu lors de la Conférence nationale souveraine (CNS). »

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Etienne Tshisekedi et Jacques Matanda

Au niveau des Recommandations, le point 228 du Rapport Garreton indique : « Le gouvernement devrait immédiatement commencer le processus de construction de la démocratie. Ce processus n’est pas une question de choix pour le gouvernement, ni une concession gracieuse à la communauté internationale, c’est une obligation incontournable pour les gens. À cette fin, un dialogue doit commencer aujourd’hui avec les forces démocratiques qui ont permis de mettre fin à 32 ans de dictature. Le texte élaboré grâce aux efforts collectifs de la CNS ne peut pas être ignorée, elle n’est pas gravé dans la pierre, mais c’est une fondation très solide. Aucun Congolais ne doit être exclu du processus fondée sur l’origine ethnique, la politique, la religion ou le sexe. En revanche, pas de celui qui n’est pas congolais devrait avoir le droit d’y participer. »

 

Prenant en compte ces deux dispositions corroborées par l’ensemble du Rapport Garreton,-  Jacques Matanda ma-Mboyo Kudia Kubanza considère qu’il va sans dire que l’esprit général les Résolutions prises par la Conférence Nationale Souveraine devrait être exprimé par la seule voix du Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya.

Le Porte-parole de Stop Congo Génocide estime qu’il s’agit de se conformer à la Résolution prise en 1992 par la Plénière de la Conférence Nationale Souveraine qui, au moment de la prise de cette décision, la voulait être impérative et opposable à tous.  

Mais, hélas, les assises politiques dites « Dialogue Inter-Congolais de Sun City » tenu de février à décembre 2002, à Sun-City, en Afrique du sud, se sont totalement écartées des deux préalables absolus énoncés par les points « 210 des Conclusions » et « 228 des Recommandations » du Rapport sur la situation des droits de l’homme dans la République démocratique du Congo, présenté par le Rapporteur spécial, M. Roberto Garretón, conformément à la résolution 1998/61 de la Commission

Or, c’est ce Rapport Garreton de 1997 qui, pour la première fois, avait convaincu les Nations-Unies sur l’extrême nécessité d’évoluer vers la tenue du « Dialogue national inter-congolais » tenu à Sun-City, en Afrique du sud de fevrier à decembre 2002.   

A causes principalement des obstructions, interférences et contraintes d’origines extérieures (1998 à 2001), la tenue du Dialogue inter-congolais surviendra quatre longues années plus-tard, soit de, avant de Sun-City  joués le rôle de mentors des « Chefs » des groupes armés multinationaux opérant sur le territoire national congolais sous le label « belligérants congolais.

 

En effet, a Sun-City, les principaux enjeux congolais avaient été totalement ignorés au profit de la satisfaction des multiples exigences financières et stratégiques brandies par les » Aux Délégués congolais était impartie le rôle de simple figurant et de faire valoir.

Pire: faisant fi des « Conclusions » et « Recommandations »  faites par la Commission Garreton, la Médiation sud-africaine aux assises de Sun-City avait purement et simplement exclu le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya pourtant investi en 1992 des plus larges Pouvoirs comme  gardien des acquis de la Conférence Nationale Souveraine.

La Conférence Nationale Souveraine avait investi le Cardinal Laurent Monsengwo Paninya des plus larges pouvoirs au niveau de la supervision du processus devant mener à l’instauration d’une paix civile véritable et durable garantie par la réconciliation nationale inter-congolaise, l’instauration de l’Etat de droit et la gestion démocratique des affaires de l’Etat congolais. Il s’agit d’autant de préalables non seulement à la reprise et à la relance de l’économie nationale mais aussi au bien-être social du Peuple congolais déshumanisé et contraint de vivre dans un état de misère absolue.    

Outre l’exclusion du Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya, ancien le Président du Bureau de l’Assemblée générale de la Conférence Nationale Souveraine, la Médiation sud-africaine avait décidé d’intégrer dans ces « Assises politiques inter-congolaises », des nombreux individus connus de tous, comme n’étant pas détenteurs  de la citoyenneté congolaise.

Jacques Matanda conclura en ces mots : « Sans craindre d’être valablement démenti par les faits, les vingt dernières années de descente aux tréfonds des enfers ne prendra pas fin tant qu’il ne se tiendra pas un « Dialogue national inter-congolais » conformément aux Dispositions « 210 des Conclusions » et « 228 des Recommandations » du Rapport d’enquêtes des Nations-Unies conduite par Roberto Garreton en 1997. »

C’est dire que,- pour prévenir et éviter le pire et surtout espérer mettre fin a la crise congolaise,- il y aura lieu d’évoluer préalablement et très rapidement vers la mise en place d’une Médiation conjointe conduite un Délégué de la Communauté internationale devant œuvrer en symbiose avec le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya. Il appartiendra à cette Médiation d’établir les Règles devant régir ce Forum national congolais.    

Africa Media Democratia                                            

Washington DC   

le 07 juillet 2013

 

 

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Displaying 5 Comments
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  1. Polo Muker dit :

    « La Modération conjointe de la Communauté internationale en symbiose avec le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya » Jacques Matanda
    Bien à vous compatriote Jacques Matanda,

    D’avance, merci pour le temps et la peine, surtout votre délicatesse d’avoir éclairé l’opinion devant des rumeurs qui discréditent des personnalités supposée faire la médiation.
    Juste pour vous signaler que Muker Kom-Nda Nkom –Nda Nda ndangyé qui vous répond et non Muke Jean-Paul comme mentionné.
    C’est juste une déformation de mon nom de famille comme celui du Cardinal Ngalula en Malula, mais ayant perdu toute signification dans nos langues africaines.
    D’avance, merci pour votre délicatesse d’en tenir compte !
    Je crois que votre message est clair. Je ne saurais terminer cet accusé de réception sans vous exprimer ma gratitude en reformulant mes préoccupations par rapport à cette médiation au niveau de la Communauté internationale en symbiose avec le Cardinal Monsengwo contesté par certains, que ce soit au niveau du pouvoir de fait et par défi, comme au niveau d’une certaine opposition comme je viens de l’illustrer avec des textes des rumeurs.
    Voici ma préoccupation résumée en deux points précis :

    1. Crédibilité de la communauté internationale qui souffle du chaud et du froid :
    Si ce n’est pas trop vous demander, comment estimez-vous la crédibilité de la fameuse communauté internationale qui souffle du chaud et du froid depuis l’indépendance, à l’assassinat de Lumumba et à l’instauration de la dictature sanguinaire pendant 37 ans, et maintenant avec la nouvelle géopolitique depuis 1993-1996, avec la complicité des compatriotes jusqu’à l’actuel descente en enfer !
    2. La crédibilité du Cardinal Monsengwo par rapport à l’animosité et aux intrigues contre sa personne depuis sa démission forcée lors des CNS jusqu’aux hostilités lors des élections de 2011 sur la vérité des urnes et présentement avec l’affaire Malu Malu où le pouvoir de fait et par défi diabolise la CENCO comme collaborateur de l’occident ou de la fameuse communauté internationale depuis l’époque coloniale, sans compter une certaine opposition déçue et réclamant la démission de la CENCO.

    Pour illustration de mes propos sur les attaques médiatiques à l’endroit du Cardinal Monsengwo depuis sa dénonciation des fraudes massives et la réclamation de la vérité des urnes, je vous laisse quelques titres de la réaction de la CENCO affectée et indignée dont les textes en intégralité seront en annexe comme aide-mémoire :

    1. La CENCO affectée et indignée des attaques médiatiques à l’endroit du Cardinal Monsengwo Kinshasa, 5/01/2012 (DIA / MCN, via mediacongo.net)
    Communiqué de la CENCO

    Écrit par CongoOne
    Vendredi, 06 Janvier 2012 18:07
    2. Attaques contre le cardinal Monsengwo : L’Église catholique indignée
    Posted on 6 janvier 2012by http://dc-kin.net
    Vendredi, 06 Janvier 2012 08:33
    3. La CENCO affectée et indignée des attaques médiatiques à l’endroit du Cardinal Monsengwo Kinshasa, 5/01/2012 (DIA / MCN, via mediacongo.net)

    Je termine avec ces références de la complicité des Congolais dans cette agression depuis 1993, début de la descente en enfer :
    1. Il est aussi à noter le cynisme de Mobutu qui sachant bien sa fin tragique, dira : « Bino bozo sepela po na Kabila, boyebi oyo ezoya na sima »?

    Qui ignore son cynisme comme quoi : « Avant moi, c’était le chaos, et après moi, c’est le déluge et qu’il serait candidat à sa propre succession et que de son vivant, il ne sera jamais appelé ex président »?
    Le pays était déjà vendu, comme un arbre rongé par des termites et le vent de l’AFDL n’a fait que l’emporter.
    Voir un extrait de l’article d’ Alfred M. Lukhanda

    La responsabilité individuelle de Deogratias Bugera dans les crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis par l’Armée patriotique rwandaise au Congo-Zaïre.
    par Alfred M. Lukhanda

    RESPONSABILITÉ PERSONNELLE DE MOBUTU ET DE L’ARMÉE ZAÏROISE EN COMPLICITÉ AVEC LE PARLEMENT ZAÏROIS DANS L’INSTITUTIONNALISATION DE LA TRAHISON POUR L’INVASION DU ZAÏRE EN 1996.

    « En mettant à la disposition de Bugera un officier de l’armée conglaise pour servir de liaison entre Bugera et lui, le Commandant de Mobutu institutionnalisait ainsi la trahison qui avait permis au Rwanda d’envahir le Zaïre en 1996 : «Tembele, whom a UN official remembered as ‘famous for being afraid of his own soldiers’and stealing cars from refugees, had been bribed by the Rwandans and even provided Bugera with one of his lieutenants as a liaison officer, institutionalizing his treason» (Stearns, 77). C’est le chercheur américain qui parle de « l’institutionnalisation de la trahison». La corruption d’un officier congolais a permis à Bugera de faire passer comme un colis destiné au Général Tembele les armes qu’il achetait à Kinshasa pour les amasser au Nord Kivu afin de faciliter l’invasion du Zaïre par l’armée tutsi du Rwanda ». .

    2. M’zee Laurent-Désiré Kabila connaissait bien le plan d’invasion du Zaïre par Museveni et Kagamé et il a accepté de jouer au traitre croyant renverser Mobutu :

    TRAHISON ET COMPLICITÉ DE LAURENT DÉSIRÉ KABILA INSTRUMENTALISÉ PAR LE RWANDA DANS L’INVASION DU ZAÏRE EN 1996 : Voir un extrait de l’article d’ Alfred M. Lukhanda

    La responsabilité individuelle de Deogratias Bugera dans les crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis par l’Armée patriotique rwandaise au Congo-Zaïre.
    par Alfred M. Lukhanda

    « Au début de 1993, par exemple, le Docteur Sondji avait été contacté par un émissaire de Museveni, M. Kahinda Otafire, pour qu’il prenne part au projet de l’invasion du Congo par une insurrection armée. La rencontre avait eu lieu à Bruxelles (Stearns, 346, note 11). Monsieur Etienne Tshisekedi était approché mais il avait réservé une fin de non recevoir catégorique à tout projet de recourir à l’insurrection armée pour changer l’ordre constitutionnel en République démocratique du Congo. Quant à Laurent-Désiré Kabila, il a accepté avec enthousiasme le projet que lui proposait le Rwanda. Il fut invité à se rendre à Kigali pour créer l’AFDL. Accompagné de Joseph Kabila, actuel chef de l’État de la République démocratique du Congo, Laurent-Désiré Kabila rencontre à Remera (Lemera), une banlieue de Kigali, Masasu Nindaga, Déogratias Bugera et Ngandu Kisase. Ils procèdent à la rédaction des textes constitutifs de l’Afdl que corrige James Kabarebe avant d’être signés par les quatre fondateurs : Kabila, Masasu, Bugera et Ngandu Kisase. Plus tard, Bizima Kahara signera lesdits statuts”.

    Merci pour votre patience!
    Patriotiquement,
    Muker Kom-nda Nkom-Nda Ndangyé

    Annexe-AIDE-MÉMOIRE sur les attaques à l’endroit du Cardinal Monsengwo et l’indignation de la CENCO.

    1. La CENCO affectée et indignée des attaques médiatiques à l’endroit du Cardinal Monsengwo Kinshasa, 5/01/2012 (DIA / MCN, via mediacongo.net)
    Communiqué de la CENCO

    Écrit par CongoOne
    Vendredi, 06 Janvier 2012 18:07

    Depuis plusieurs semaines, certains médias, notamment la Rtnc qui est une chaîne publique, s’illustrent par des attaques personnelles allant jusqu’aux injures à l’endroit de Son Eminence Laurent Cardinal Monsengwo, Archevêque de Kinshasa. La Conférence Episcopale nationale du Congo (CENCO) est affectée et indignée par cette façon de faire.

    Nous estimons que le débat d’idées en démocratie n’autorise pas des attaques personnelles. A l’heure actuelle, les fidèles catholiques de l’archidiocèse de Kinshasa et d’ailleurs sont choqués par cette campagne à l’endroit de leur Pasteur.

    Son Excellence Monseigneur Nicolas Ndjomo, Evêque de Tshumbe et Président de la CENCO vient de saisir à cet effet Son Excellence Monsieur le Premier Ministre Chef du gouvernement lui demandant de prendre des mesures qui s’imposent pour mettre fin à ladite campagne.
    Du reste, la CENCO qui reconnaît le rôle important des médias dans la participation citoyenne en démocratie, les invite à placer au premier plan, dans leurs émissions, la paix et le bien-être de la population congolaise qui nécessitent un ordre juste et concerté.

    Fait à Kinshasa, le 05 janvier 2012
    Abbé Léonard SANTEDI,
    Secrétaire Général de la CENCO

    2. Attaques contre le cardinal Monsengwo : L’Église catholique indignée
    Posted on 6 janvier 2012by http://dc-kin.net
    Vendredi, 06 Janvier 2012 08:33

    La Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) a rendu public hier, à travers son secrétariat, un communiqué dans lequel elle fustige les menaces dont est victime l’archevêque de Kinshasa. Le prélat catholique fait l’objet d’une campagne de dénigrement depuis qu’il a donné son point de vue sur les résultats de l’élection présidentielle du 28 novembre qu’il avait qualifiés de non conformes à la vérité ni à la justice.
    Dans son communiqué, la Cenco se dit affectée et indignée du fait que certains médias, notamment la Radio télévision nationale congolaise qui est une chaîne publique, s’illustre par des attaques personnelles allant jusqu’aux injures à l’endroit de son Éminence Laurent Monsengwo Pasinya.
    « Nous estimons que le débat d’idées en démocratie n’autorise pas des attaques personnelles. À l’heure actuelle, les fidèles catholiques de l’archidiocèse de Kinshasa et d’ailleurs sont choqués par cette campagne à l’endroit de leur pasteur », indique le communiqué.
    Face à ces différentes dérives médiatiques, le communiqué précise que Mgr Nicolas Djomo, évêque de Tshumbe et président de la Cenco, vient de saisir à cet effet le Premier ministre, Adolphe Muzito, pour lui demander de prendre des mesures qui s’imposent afin de mettre fin à cette situation.
    « La Cenco, qui reconnait le rôle important des médias dans la participation citoyenne en démocratie, les invite à placer au premier plan, dans leurs émissions, la paix et le bien-être de la population congolaise qui nécessitent un ordre juste et concerté », poursuit le communiqué.
    Le chef spirituel de l’Église catholique avait déclaré, le 12 décembre dernier, que les résultats de la présidentielle publiés par la Commission électorale nationale indépendante n’étaient conformes ni à la vérité ni à la justice. Face au tollé suscité par ces propos et aux attaques dont a été victime le cardinal Monsengwo par la suite, le bureau du Conseil national de l’apostolat des laïcs catholiques du Congo avait, à son tour, exprimé son indignation, jugeant cette campagne inacceptable et à la limite de l’insulte.
    Dans son homélie lors de la messe de réveillon du 24 décembre dernier à la cathédrale Notre-Dame, le chef de l’Église catholique a de nouveau rappelé «qu’il n’y a pas de paix sans la justice ni la vérité. La vérité fait que cette justice soit authentique et véridique ».
    Notons que la Cenco tiendra une assemblée plénière extraordinaire du 9 au 11 janvier au Centre d’accueil Caritas à Kinshasa. L’ordre du jour comprendra principalement l’échange sur le processus électoral de novembre dernier.
    Patrick Kianimi PHOTO : le cardinal Monsengwo
    3. La CENCO affectée et indignée des attaques médiatiques à l’endroit du Cardinal Monsengwo

    La Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) vient de rendre public à travers son secrétariat un communiqué ce 05 janvier 2012. Réagissant ainsi aux attaques médiatiques dont a été victime son Eminence le Cardinal Laurent MONSEGWO suite à ses ressentes déclarations sur les résultats de l’élection présidentielle qu’il avait qualifiés de non conforme à la vérité ni à la justice.
    Dans ce même communiqué, la CENCO se dit affectée et indignée du fait que certains médias, notamment la RTNC qui est une chaîne publique, s’illustrent par des attaques personnelles allant jusqu’aux injures à l’endroit de son Eminence Laurent Cardinal MONSENGWO, Archevêque de Kinshasa.

    « Nous estimons que le débat d’idées en démocratie n’autorise pas des attaques personnelles. A l’heure actuelle, les fidèles catholiques de l’archidiocèse de Kinshasa et d’ailleurs sont choqués par cette campagne à l’endroit de leur pasteur », explique le communiqué.
    Poursuivant, le communiqué indique que son excellence Monseigneur Nicolas DJOMO, Evêque de Tshumbe et Président de la CENCO vient de saisir à cet effet son excellence Monsieur le premier Ministre Chef du gouvernement lui demandant de prendre des mesures qui s’imposent pour mettre fin à ladite campagne.

    Du reste, la CENCO qui reconnait, poursuit le communiqué, le rôle important des médias dans la participation citoyenne en démocratie, les invite à placer au premier plan, dans leurs émissions, la paix et le bien-être de la population congolaise qui nécessitent un ordre juste et concerté.

    Kinshasa, 5/01/2012 (DIA / MCN, via mediacongo.net)

  2. joseph dit :

    je vous le avoir tout les publication de magasine top africa

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  4. Tout a fait le genre d’idee que je me fesait sur le sujet, merci grandement pour ce bon billet

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